Journal de Bord - Elden "Nas" Jackssen -

Yep, voilà quelque jours maintenant que je tiens au journal de bord Rôle-Play narrant le déploiement Elden "Nas" Jackssen et son unité en Afghanistan, je vous laisse en profité ici .


Journal de bord d'Elden "Nas" Jackssen
Lieutenant of Netherland army, Korps Commandotroepen
Task Force Craft Poney, 2 Platoon, Fire Team Viper



J-20 Back to Afghanistan

Nous venons de recevoir nos affectations pour le déploiement bientôt prévu en Afghanistan, d'ici une vingtaine de jours nous y serons ou devrais je plutôt dire nous y retournons.

Je m'appelle Elden Jackssen, et je sers dans l'armée de se majesté, la reine Beatrix, depuis 11 ans maintenant. Mes amis m'appellent Nas, le diminutif de « Nasty » surnom que je porte depuis mes frasques d'adolescent dans les quartiers Ouest de Rotterdam. Après mon passage chez les Royal Mariners, une des rares voix honorable qui s'offrait à moi, je me suis porté volontaire pour intégré le Korps Commandotroepen où je sers aujourd’hui depuis 6 ans en tant que lieutenant dans le groupe action. Je compte plusieurs projection sur le sol Afghan dont je n'évoquerai pas les détails ici ; tout ce que je peux vous dire c'est qu'il y a encore du travail la bas. Malgré tout lorsque j'appris que nous y retournions un gout âpre sur la langue me revins l'esprit... c'était celui de la poussière du sable millénaire des vallées de l'Helmand saupoudré d'un arriéré gout familier de cordite...

Pour cette opération nous serons 11 opérateurs triés sur le volet entre la Task Force Cobra et Viper. Je serai à la tête du groupe assaut, composé de Nicolaas, ancien de 3 années, spécialisé en maniement d’explosifs. On pouvait toujours compter sur lui dans les situations tendues pour sortir la bonne blague sur un gradé ou la femme d'untel ou parfois même les deux en même temps… le flegme des démineurs. Il n'en demeurait pas moins un opérateur efficace et combatif. Mon tireur FM n'est autre que Shung un solide taïwanais de 90kg, 5 ans de services au sein de l'unité, il revenait d'un stage à Taïwan où il avait acquis une aisance certaine à l'emploi des armes de soutien, sa réputation de tireur émérite le précède ainsi que celle de son appétit légendaire. Sans compter une obscure histoire de sieste et de P.O qui faisait régulièrement le sujet de plaisanterie au sein l’unité. J’ai eu la chance de servir au cotés de ces deux là lors de nombreuse missions. Il n'y a que Nicolaes avec qui je n'ai jamais foulé le terrain, bien que je pris part à son instruction et que nous avons partagé de nombreux entrainement au cours desquels je pu nouer avec lui une amitié franche et solide, il sera en charge de la sécurité arrière, tache qui peut paraitre ingrate mais qui nécessite une forte attention il en quelques sorte nos yeux dans le dos. J'ai confiance en chacun d'eux et ne me fait pas de soucis sur le professionnalisme de mon dispositif.

Cela fait maintenant des mois que l'unité s'entraine sans relâche, nous avons répété maintes et maintes fois les procédures de patrouille et de contrôle, ainsi que les préparations d'évasion pour lesquelles nous avions toujours moins d'enthousiasme mais que je prenais néanmoins très au sérieux ; tout cela entrecoupé de cours sur la culture Afghane et le déroulement de la missions de transition avec l'A.N.A. Les derniers éléments du matériel sont en routes et nous devrions plus tarder à les percevoir. Les opérateurs sont impatient et l'agitation de ces derniers temps dans nos quartier nous rappel que le déploiement est proche, c'est à présent plus qu’une affaire de jours.


J-13 Mauvaise nouvelle

La nouvelle vient de tombé ce matin, comme toute opérations d'envergure il faut toujours qu'il est un truc qui foire au dernier moment, et bien ça y est notre traditionnelle foirade vient d'arriver, notre première... .
Manifestement les talibans on eut vent de l'opération et ont préféré ce retirer dans les montagnes, tactiquement ils savent qu'ils ne feraient pas le poids face aux armées occidentales, bien équipés et entrainé sur les terrains à découvert de la vallée. L’ennemi a sut jouer à sont avantage le fameux "art de la guerre" Si vous êtes à égalités, engager le combat, c'est un hasard, mais si vous êtes moins fort que votre adversaire, soyez sur vos gardes, évitez les fautes. Efforcez vous de vous protéger, évitez le combat autant que possible : la prudence et la fermeté d'une petite force peut arriver à lasser et à maitriser même une nombreuse armée . Peut import nous nous entrainons depuis des mois pour ça et nous étions fin prêts à combattre, à ce stade de l'opération le terrain n'avait plus d'importance, Sun Tse dit aussi Dix fois plus fort que l'ennemi enveloppé le sans lui laisser la moindre issue et nous n'allons pas commettre cette faute, pas cette fois-ci...
L'autre mauvaise nouvelle été les données topo et démographique que nous venions de recevoir, la zone et fortement peuplé et touché par le trafic et la corruption, ce qui ne facilitera pas notre approche de la population inquiète de voir l'I.S.A.F perturbé leur affaire.
Niveaux terrain les falaises et ces nombreuses grottes offrent des caches multiples éparpillés sur toute la montagne. Ce qui donne aux combattants le loisir de combattre la nuit et s'enterrer le jour, mais ça aussi peut importe comme l’a dit notre général lors du contre-briefing suivi par l'affirmation bruyante et hétéroclites de l'ensemble des troupes. Ils sont dans des grottes! Et bien qu'ils y restent nous viendrons botter leurs culs de terroristes fanatiques jusque dans les entrailles de la terre si il le faut! Il n'oublia pas pour autant de nous rappeler l'importance de cette mission et l'influence qu'elle aura sur la suite des événements dans cette province.


J-5 Réunion au sommet

Nous nous retrouvons ce soir avec les officiers de mon unité afin de peaufiner les derniers détails de la mission. Le RDV est pris chez moi et j’attends tranquillement mes frères d'armes en écoutant M.O.P et inspectant mes nouveaux achats pour la mission toute en sirotant un café de ma cafetière italienne, qui devra à mon grand regret rester au pays. Tous le monde est enfin là et nous nous réunissons autour d'une table avec toute les données les plus fraiches que nous avons pu obtenir, Tobias Cruisford jeune lieutenant de 26 ans qui à fait une carrière fulgurante aux seins de l'unité est également l'officier chargé de faire un topo sur les données météo et ne nous annonce rien de trop réjouissant. Le premier lieutenant Jaap Kroon et là lui aussi, il sera en charge du dispositif complet lors du déploient. Le Sergent Nicolaas Rotten et son homologue Barend Fokke, nos démolisseurs hors pair, qui furent ravis quand ils apprirent que nous disposerons d'AT4 pour cette missions, ainsi que Chris Dekker avec qui nous avons eu de nombreuses missions inoubliables. Nous parcourons les points un à un, dans une atmosphère attentive et sous un nuage de fumée éparse, peut être un des premiers signe de nervosités avant l’opération. Mais nous nous apercevons rapidement que ça y est tout est enfin place. Nous avons reçus les dernières éléments du matérielle qui on été distribué, maintenant ce n'est plus du ressort de l'unité, c'est à chacun de nous de donner le meilleur de nous même.
Nous avons notre affectations officielle au sein de la Task Force Craft Poney, nous travaillerons aux coté des Anglais, une unité de « sappers » avec lesquelles nous avions opéré en Afghanistan dans une autre province un an plus tôt, ces gars font du bon boulot et on pourra compter sur eux en cas de coup dur, également une unité de Marines, Semper Fi', en espérant qu'ils ne soient pas restés trop longtemps en Irak. Nous finissons la soirée tranquillement en nous chamaillant sur qui monterait dans le Chinook tout en découvrant les commandes de rations que nous avions reçus, les porcs créoles avait été subtilisés, un coup des Taleb? Non plutôt un mauvais coup d'un goinfre du coin, les chamailleries reprirent de plus belle, pendant que Kroon profitant de la diversion subtilisa discrètement la dernière part de pizza, comme on dit chez nous « au bon endroit au bon moment ». Le lendemain je passais une demi heure au récup' verre, tous ça me rappela qu'il fallait que j'aille chercher mes bouchons antibruit à l'intendance...


J-1 Derniers préparatifs

...coming soon...

vivement la suite, ca me fait bien tripper, faite gaffe a vos miches mes bro's

Ca claque ! Vivement la suite. :-)

J-1 Dernier préparatifs

Ca y'est nous y somme j-1, notre unité décolle demain. Voilà plusieurs jour que je rassemble mon materiel dans un coin, toute ma liste et coché, je suis paré.

Depuis 3 jours je mange tout ce qui me tombe sous la main, je prend le maximum de graisse superflu, un cas d'effort soutenu je brulerai d'abord l'excédent avant de taper dans mes réserves. On perd généralement quelque kilos entre le stress des sorties et le manque de sommeil. Bien que ma préparation physique fut intensifier dans cette dernière ligne droite, je ne doit rien laisser au hasard.
Mes armes sont démonter devant moi, mon HK416, fusils d'assaut de calibre 5.56 équipés de son lance grenade individuelle de 40mm appelé m320. C'est un fusil dernière génération redoutable en quelque sorte une versions revu et corrigé de son homologue américain le M4. En combat le M320 et ça précisons refroidi bien souvent les ardeur ennemies ses détonations sont sourdes et dévastatrice, je porterai répartit dans mon gilet et mon sac de combat un totale de 7 grenades de 40, autant dire que je serai généreux sur leurs distribution. Je graisse et m'assure du bon fonctionement de mon arme principale, tout est en place sur ce point là.
Mes armes sont prêtes et mon gilet et rempli avec l'équipement de combat, grenades à main, fumigènes, poignards, chargeurs, radio d'escouade tout le nécessaire pour faire face aux engagement. Je passe maintenant à mon bergen, qui lui contient mon équipement de vie, comme dit un vielle adage "Tu vie avec ton sac, survie avec tes poches, combat avec ton gilet". J'emporte toujours en plus des sucres rapides qui permettent une récupération rapide et aussi une monnaie d'échange sur la FOB.

Mon paquetage est enfin préts, nous attendons ce moments depuis longtemps et j'ai dut mal à réaliser que nous partons demain. Un mélange d'inquiétudes et d'excitation commence à s'emparer de moi je m'occupe comme je peut afin d'évacuer toute ces pensés parasite, la mission seul importe la mission. De toute façons comme à chaque déploiement d'envergure je ne trouverais pas le sommeil, sur le terrain je passe ce temps à analyser les missions du jour ou partager un café chaud avec les sentinelles ou mes frères d'armes qui ne trouve pas le sommeil. Merde je viens de me rappeler que je ne suis pas passer à l'intendance réclamer mes boulequièse, a cet heure c'est fermé depuis longtemps, tant pis je m'en passerai espérons juste que je dorme pas à cotés de Shung ou Nicolaas.

Jour J Du tarmac à la FOB



Nous venons d'arriver sur le tarmac, dans un immense brouha, des soldats de l'isaf entasse leur matériel ou cherche désespérément leur supérieur. Notre préparations ce fait s'en trop d'encombre hormis Criss le tireur fm du groupe cobra qui lutte avec le system d'éjection de ca minimi. Nous somme paré et l'on ce présente à la tente du dispatch qui nou indique notre landing zone, je croise sur la route un soldat allemand de la mp avec qui j'avais eu l'occasions de sympathiser lors d'un autre déploiement plus au sud. Nos sac sont alignés et l'attente commence, je m'installe confortablement sur mon bergen et trouve le luxe de somnolé un vingtaine de minute.

J'attend la voix de Yaap en train de pressé les gars ce qui m'extirpe de ce semblant de sommeil. J'enfile mon sac de 35 kilos, nous devons étre deux afin de réaliser cette opération qui peut trés vite tourner au comique. Le camp et sur le pied de guerre, les colonne ce forme et les véhicule ce mettent en place enveloppant l'atmosphère de carburant et de poussière.
Les sfsg ouvre la route et apparemment quelque échange de tir sporadique ce sont déja produit. Ca y'est la colonne ce met en marche, nous fermons le dispositifs, une place qui pourrait sembler paisible, mais c'est bien là qu'est le plus grand danger, un tant qu'insurger vous avez pu voir la colonne passé et savez de quoi il en retourne. Les français précédé des canadiens sont devant nous et marque des arrêts fréquent au rythme des franchissement plus ou moins difficile des véhicule. Nous croisons quelque afghan qui n'ont pas l'air surpris de nous croiser ici... mauvais signe.
Et effectivement quelque temps aprés un échange de tir nourris ce produits en avant de la colonne, un français est au sol. On demande du renfort, notre chef de sections nous envois en soutien, nous remontons au pas de course la colonne de véhicule et de soldat donc quelque un nous lance des encouragement. J'ouvre la route avec viper, quelque tireurs bloc la progression et l'avant garde et tapis à couvert appuyé par les tir de soutient. Nous prenons l'initiative et déclenchons un tir nourris vers les contacts, la minimi de Paine crache de tous les diable. Python et cobra rejoignent la positions et riposte à leur tour ce qui nous permet d'avancer et d'établir une nouvelle position de tir. L'avant de la colonne ce réorganise et le blessé est prit en charge. Les insurgés probablement découragé par la supériorités de feux s'enfuit... mais ce n'est que partis remise.

Nous arrivons sur la FOB ou les premières unités on établis une tête de pont et finissent de sécuriser les alentours. Les véhicules entre à leur tour, quelque tirs ce font entendre au loin. Yaap notre first lieutenant viens de ce rendre compte qu'il à égaré son casque lors du premiers accrochage. Quand soudain un sifflement ce rapproche suivit d'une explosion "MORTIER" "MORTIER" l'obus vient de toucher le sol lourdement, à quelque mètre à peine de l'infirmerie. Puis inévitablement les autres salves ce font entendre, le chaos ce déchaine autour de nous, j'ai l'impressions que le sol ce projette en l'air, je cours avec mon groupe pour trouver un couvert.
Une déflagrations monstrueuse souffle l'air à quelque mètre de moi je me jéte au sol sous une pluie de terre et de fumée. Je me retourne et voit un soldat anglais touché par un obus, ca tête et éjecté en arrière suivit de tout son corps il retombe de tout son poids, un coup d'oeil sur mon groupe, il sont tous à couvert je suis rassuré, mais ou sont les autres... Dans la débandade générale j'entend le soldat anglais tousser et craché, ouf il est en vie.

Les salves s'arrêtent, un cours moments de silence brise cette ouragan, puis vint les cris des blessés et des chefs de sections qui tentent tant bien que mal de rassembler leurs hommes. La FOB est plongé dans une ambiance de premières ligne la fumée ce dissipe et une odeur de poudre nous brule les narines. Je vois que le soldat anglais est prit en charge par une équipe médicale le MERT (Medical Emergency Rescue Team) il est entre de bonne main même si ce fut impressionnant il ne semble pas si mal en points. Notre unité ce rassemble aucun bléssé nous somme tous soulagé. Le unités ce repartissent les taches rapidement encore secoué par notre arrivée explosive. Une partie du dispositifs montera la garde pendant que l'autre moitié investira les tentes et établira leur zone de vie, puis inversement.
En quelque sorte les talibans nous on fait leurs présentations, j'espère qu'a l'heure qu'il est les force spéciale sont en train de leur rendre la politesse.

Nous prenons place dans la tente, chacun installe son couchage et place son sac de vie en bout de lit. Nous troquons nos armes contre des pelle et des pioches et renforçons un poste de tir sur le flanc nord, nous gardons néanmoins nos protection balistique et nos fusils dans le dos. Nous mettons du cœur à l'ouvrage car nous savons que ces quelques sac de sables pourrai bien nous sauvé les miches, pendant ce temps Kroon part voir le chef de notre section pour avoir nos directives dans les heures à venir. Il revient peut aprés et nous annonce le programme, repos, repas puis garde sur les chekpoint de 21h à 22h30, cela nous laisse une bonne de nuit de récupération.
Pas d'incident sur les chekpoint, r.a.s. on s'organise entre viper et cobra, et python navigue sur les CP. Nous allons nous couchés aprés avoir prit un petit en cas pour s'endormir le ventre plein, la nuit ce passe sans accrochage majeur c'est méme étrange aprés notre arrivé mouvementé. Ou les talibans on voulu faire un coup d'éclat ou il sont vraimment bien établis dans la zone. Je m'endore sur ces derniéres pensé avec la hate de rencontrés la polulation afghane et de jugés leur sentiments sur notre arrivé dans la province.

J 2 Patrouille

J'ai froid, c'est pas normal je me rend compte que mon duvet prend l'eau, il pleut dehors et accéssoirement dedans aussi, je vois que les autres gars dorme tous. Solutions d'urgence je m'envellope dans la bacha, la chaleur de mon corps ci diffuse lentement pour reprendre peut à peut le dessus.
J'entend que la tente s'active et quelque tir retentissent prêts du camp, apparemment les talibans sont venus tester nos défense, mauvais signe pour la suite des évènements. Le premier lieutenant insiste pour que nous sortions appuyé la garde, nous nous exécutons et prenons place sur les checkpoints. C'est bien ça, quelque tireur isolés sont venus testé la réactivité de nos poste de garde, à en croire la sentinelle il furent servi plus que de raisons. A l'heure qu'il est il doivent étre autour d'un thé chaud dans une grotte. Nous décidons d'en faire autant le temps de prendre notre garde de 7h30 à 9H00.

Nous nous mettons en place avec le groupe viper sur le CP Est, celui qui mènent au village. L'US army et une unité anglaise parte en patrouille, nous leurs souhaitons bonne chance et refermons le CP derrière eux. La cafetière chauffe et la garde prend son rythme, nou somme en liaisons radio avec les autres CP au cas ou un incidents éclate sur plusieurs CP en même temps ce qui pourrait étre une diversions, tactique de base pour la guerilla. Shung est installé avec sa minimi dérriré une barriére de béton il un axe de tir direct sur la route. derriére le deuxiéme bloc il ya rotten et moi et l'AT4, un signale internationale signifiant au véhicule "Arréte toi mec, ya un missile qui te regarde". Maes et avec Shunk et passe en revue ces chargeurs et s'assure que rien ne géne leur sortie du gilet. Tout ce passe bien, nous échangons quelque cigarette et tasse de café avec des soldat français au repos.

Soudain Shunk me fait part de plusieurs contact civile en approche.
Je met le CP en alerte, nous faisons signe aux afghan de s'arreter à une vingtaine de métres. La proçédure classique pour évité une explosion de kamikaze sur un chekpoint. J'envoie le sergent et Nicolaes à leur rencontre, je m'assure que les civile on bien compris la procédure, il ce salut mutuellement le Sgt Rotten fouille le premier homme, rien à signaler, je lui fait signe de s'avançer vers le CP puis le Sgt passe au second. Tous ça sous le canon attentifs de Shunk resté en poste sur le CP pour couvrir la manoeuvre.
L'afghan arrvie à ma hauteur et nous nous saluont à nouveaux, il parle plutot bien l'anglais est m'explique qu'il est medecin manifestement il viens voir si nous pouvons lui dispensé du materiel médicale pour le village. Il semble surpris de notre nationalités, je lui parle de notre désirs de voir la province ce pacifier et lui offre un chewing-gum, son ami nous à rejoins il parle peut et nous lance des regards furtif, bien que le docteur semble amicale, je n'aime pas trop sont attitude.
Leur papier sont en règles et Yaap Kroon vient de nous rejoindre sur le CP je lui expose rapidement la situation et il pars en référé directement au commandement. En attendant le médecins afghan ce plaint de l'attitude des soldats américains rencontrés un peut plus tôt, il tente de rentré dans le camp mais je luis explique que ce n'est pas possible un superieur viendra répondre à ca demande.
La réponse tombe, il n'y aura rien pour eux, le doc semble déçus et nous fait comprendre que cette réponse ne sera pas du meilleur effet auprès des villagois. Les ordres sont les ordres et n'y pouvons rien nous les invitons aussi poliment que possible à quitter le checkpoint à leur disant que c'est un point chaud et qu'il ne peuvent pas rester attendre ici. Ils repartent enfin, entre temps la relève de la garde et arrivé.

...

Je kiff ca mere .trop bon Nasty

magnifique récit Nasty =) j'attens la suite avec impatience x)

c'est bien cool! bravo!

Yeah,

Bonne narration
Pressé de lire la suite

Merci les gars ^^, voilà la suite



Notre premier contact avec la population c'est plutôt bien passer, bien qu'ils ont mal pris ce refus. Notre tour de garde et terminé et nous regagnons notre zone de vie, je félicite les gars pour la prise en charge des locaux sur le CP, c'était du bon boulot, l'entrainement porte ces fruits cela me rassure.

Après un cours repos nous reprenons nos nouvelles armes, pelles, pioches et nous repartons dans les sous bois établir des poste de défense. Nous nous enfonçons d'une vingtaine de mettre dans les bois au sud de la FOB, cette axe est dangereux car il comporte un chemin nous contournant et qui mène au CP est, l'ennemie pourrai s'approcher discrètement jusqu'en lisières ce qui leurs donne un point de tir direct sur l'intérieur de la FOB. Aprés avoir fait un tour de reconnaissance sur cet axe on ce met au boulot on creuse on remplie des sacs et on recreuse et on reremplie des sacs, on observe plusieurs mouvement vers le chemin mais l'activités vers la FOB les dissuade de venir jeter un oeil, tant mieux nous restons néanmoins sur nos gardes prêts à riposter à la moindre alerte. Les trous de combats sont enfin prêts, on prend également le temps de défricher quelque axes de tir important et également un chemin dégagé vers la FOB en cas de repli rapide ou d'évacuation de blessé, Camouflage, protection, accès tout est ok. Si les talebs ce pointe par là nous aurons de quoi les recevoir, sur cette conclusions nous décidons d'allez faire un repas bien mérité.

L'odeur caractéristique des rations de combat envahi la tente, j'ai vraiment pas faim et ces trucs ne me mette vraiment pas en appétit, si jean-pierre coffe voyait ça il serait surement plus à craindre que les talibans. Je me rend compte que j'ai bouffé hier mon porc créole et c'est le seul truc que je pourrai mangé, je cherche de quoi troquer, mmm c'est un peut maigre une salade de boeuf, un taboulet et un saucisse lentille, hors de question que je touche à mes conserve perso . Après avoir mené mon enquête seul Marteen le marksman du groupe cobra à du porc créole, je connais bien ce goinfre et la négociation va étre tendu, je vais devoir me séparé de mon saucisse lentille. Je vais voir Shunk à qui je réussi à troquer ma salade de boeuf contre un autre saucisse lentille, ce qui m'en fait deux, en retournant à la tente je me dit que Shunk n'a jamais dû gouter ces salades. Je réussi finalement aprés une interminable négociations à troquer le porc créoles contre les saucisse lentilles plus un mont blanc chocolat que j'ai taper dans mes réserves perso, tant pis j'ai mon porc créoles, et je sens la saveur sucré salé de l'ananas s'échapper de la barquette qui cuit doucement, tiens la faim commence à venir.

Notre Chef de platoon passe ça téte dans la tente et nous annonce que nous allons effectuer une patrouille vers le village afin de montrer notre présence dans la province. Notre platoon part sous peut, tout le monde en tenue de combat sur la place de la FOB dans 30 minutes. J'avale les dernières bouchés de mon gateaux de semoule et ingurgite rapidement un café surboosté du sgt Rotten, qui ne manquera pas de me laissé un gout de grain moulu jusq'au briefing... un vrai café hollandais. Nous enfilons nos brelages en partageant quelque anecdote, Marteen sans ce rendre compte dit qu'il avait en faite deux rasquette de porc créole, il sent mon regard vengeur et je me dit qu'il ne paie rien pour attendre...

Nous partons pour une mission de "présence" aux abords du village, nous prendrons contact avec les villageois pour les rassurer sur notre déploiement dans la province. Notre platoon est composé d'une unité française, une canadienne, et une anglaise faisant partis du régiment de para des Royal Engeniers. Pour ces derniers ce n'est pas la premières fois que nous nous retrouvons sur un théâtre en Afghanistan, ce sont des combattants bien entrainé et discipliné. Le lieutenant Mc Fear est à la tête du squad, un chat maigre aux regards malicieux possédant un flegme aussi épais que ces rouflaquette. J'apprécie bien ces gars et je commence à connaitre la plupart d'entre eux, c'est toujours bon de les avoirs dans les parrages en cas d'accrochage. Nous vérifions nos armes pendant que Van Effenrick notre opérateurs radio contrôle son matériel en échangeant plusieurs messages test avec les autres unités, il est en binôme avec Yaap notre first lieutenant qui doit s'assurer en temp réel du déroulement de la mission, il forme la command team de notre unité.

La reconnaissance fait parties intégrante du travail du régiment, nous somme donc désigné pour ouvrir la route de la patrouille. Le platoon ce met en ordre pour le depart et nous passons le chekpoint, ca y'est nous foulons le terrain que nos Etats major refuse de qualifié d'hostile il préfére "instable". Nous alternons avec cobra les passage de carrefour, quand nous tombons nez à nez avec 5 afghans s'avançant vers nous d'un pas déterminé. Nous leurs faisons immédiatement stopper leur marche, il est impensable qu'ils longent la patrouille. Nous stoppons la progressions de la colonne, ce qui est toujours risqué, nous redoutons l'embuscade... Nous nous apprêtons à les fouiller un par un, et tentons de contrôler le groupe un peut plus en avant de la colonne afin de minimiser les risques d'IED, les afghan ne sont pas du tout coopératifs et semble très irrités par ce contrôles, notre lieutenant demande que l'on accélére la procédure. Le chose sont en train de mal tourné et plusieurs d'entre eux refuse la fouille. Nous leurs faisons comprendre que nous devons voir leurs mains mais il semble s'en amuser. J'essai de raisonner l'homme qu'ils semble écouter, mais nous ne nous comprenons pas. Il me défie du regard mais contrairement à leurs coutumes je ne baisse pas les yeux, ce qui rajoute à l'agacement ambiant. Notre chef de Platoon décide d'y mettre un termes et de les ramenez aux FOB sans ménagement. Je croise le regard de Rotten qui m'indique qu'il à bien compris la procédure, ni une ni deux nous attrapons nos serreflex, sorte de menottes en plastique rigide, et les leurs passons par force, soudain celui qui semble étre leur chefs comprend notre langue, il se moquait de nous depuis le debut. Tant pis pour lui, Shunk est déjà sur lui et le maintient au sol pendant que je lui passe les menottes sous les insultes incompréhensibles de ces camardes qui subissent également le même sort, aux moins ils seront à quoi s'en tenir si ils refusent à nouveaux un contrôle, puis avec la patrouille en stand by derrière nous devons agir vite, pas le temps pour les compromis. Leur "chef" me dit que nous faisons une grosse erreur, je lui répond que lui aussi en refusant d'écouter nos sommations. Il semble bien habillé pour la région et l'un deux posséde un téléphone ce qui n'indique rien de bon pour leurs futurs intérogatoire.
Nous somme à une centaine de métres de la FOB et le "frenchie" nous ordonne d'y raccompagner les prisonniers ce que nous faisons aussitôt pour les confier aux hommes en gardes aux CP ouest. Nous regagnons enfin la patrouille pour reprendre la missions initiale...